Le blog de Patrice du Houblon, mélomane passionné et adepte de la musicothérapie.
jeudi 7 novembre 2013
ORPHANED LAND – Divan du Monde – 07/11/2013.
samedi 14 septembre 2013
RAISMESFEST XV – Raismes - 14/09/2013
vendredi 24 mai 2013
RUSH – Arena O² – 24/05/2013
vendredi 8 mars 2013
STEVEN WILSON & Band – Trianon – 08/03/2013
samedi 12 mai 2012
METALLICA – Stade de France – 12/05/12
Les billets d'entrée laids (des
vulgaires feuilles A4 avec un code barre), mais je ne me plains pas de mon
placement (zone sud en rangée basse, catégorie 2) ; je suis en face de la scène
sur une première rangée de sièges (personne pour se mettre debout devant moi).
Certes, c'est loin de la scène, mais bon de toutes façons au Stade de France on
est vite loin … Cette soirée revêt en outre une importance particulière pour
moi, mon fils cadet âgé de huit ans et demi (neuf en juillet), m'accompagne
pour son baptême du Feu ! Mais ce n'est pas le plus jeune, son voisin a cinq
mois de moins !!!
GOJIRA [19h00-19h30] : Ce groupe français classé dans le death/trash metal, ne parvient pas davantage à me séduire sur scène que par leur production. Ils me font l'effet de brutes épaisses. Je n'arrive pas à déceler de mélodie, ni de technicité particulière ; juste un vociraptör en guise de chanteur et une artillerie assourdissante et sans intérêt. Désolé pour eux, mais de toutes façons, il semble bien qu'ils se passent très bien de mon soutien puisqu'ils jouissent déjà d'une certaine estime dans le public.
Programme :
Oroborus
The Heaviest Matter of the Universe
Backbone
Flying Whales
L'Enfant Sauvage
Vacuity
THE KILLS [19h50-30h30]
: Groupe américano-britanique qui m'était inconnu jusque là. Ce couple
homme/femme jouerait du "garage-rock", d'après les spécialistes … Une
erreur de casting à mon avis pour cette grand'messe du metal. Je ne conserverai
pas un souvenir impérissable de cette musique qui m'a paru insipide.
Programme :
No Wow
Future Starts Slow
Heart Is a Beating Drum
Kissy Kissy
Pull a U
Black Balloon
Pots and Pans
Fuck the People.
Les sièges encore inoccupés pour les premières parties sont cette fois tous occupés et la partie centrale est bondée ! Reste bien de l'espace sur les côtés mais on peut dire de Metallica a fait le plein aujourd'hui. Je m'en réjouis car je n'aurais pas parié dessus en début d'année !
METALLICA [21h20-22h20]
: Après ce petit apéritif, somme toute (soyons positif) de nature à aiguiser
notre appétit, Les images et le son du film culte (le Bon, …) déclenche une
clameur justifiée ; enfin le début des bonnes vibrations !
Immédiatement, on reconnaît les
premières note de "Hit the Lights"
tant la sonorisation s'avère excellente ! Rarement entendu une telle qualité de
son au Stade de France !
Les trois autres titres des
années antérieures à 1986, me rendent heureux je les adore tous. Puis "Hell and Back" un titre extrait des
sessions d'enregistrement de leur dernier opus mais qui, n'étant pas inspiré du
feu de Dieu n'avait pas été retenu.
Vient le moment attendu ; la
reprise du "black-album". Idée originale, il est repris dans l'ordre
exactement inversé de l'opus ! Cela ne me dérange pas ; chacun des titres étant
parfaitement autonome ! Pas une faille, un vrai bonheur intégral.
Fin de cette belle parenthèse,
avec "Battery" il rappelle que nous sommes dans le monde du metal pur
et dur, celui qui ne passe pas ou peu sur les ondes ou dans les médias !
"One" permet au groupe
de placer une touche spectaculaire à un concert plutôt conventionnel sur la
forme (juste trois écrans diffusant les images des musiciens, pas ou très peu
d'images) en faisant claquer quelques pétard et s'élever quelques flammes.
Enfin, comme sur la dernière
tournée, c'est "Seek & Destroy"
qui clôt le concert ; les projecteurs du stade étant rallumés, et les ballons
estampillés étant lancés dans la foule ravie.
Les musiciens, généreux et ravis de partager leur émotion avec le public, semblent avoir du mal à quitter la scène du Stade. Remerciements et dons divers n'en finissent plus de retarder la sortie du reste du public encore présent pour ne rien rater de cette communion. Cette fin n'en est pas vraiment une, tant je suis certain que je les reverrai une dix-septième fois ! … and nothing else matter !
Programme :
Hit the Lights
Master of Puppets
No Remorse
For Whom the
Hell and Back
The Struggle Within
My Friend of Misery
The God That Failed
Of Wolf & Man
Nothing Else Matters
Through the Never
Don't Tread On Me
Wherever I May Roam
The Unforgiven
Holier Than Thou
Sad But True
Enter Sandman
Seek & Destroy.
Je n'ai pas acheté de tshirt ; en revanche j'ai acheté une
pisse d'âne imbuvable (soit disant de la bière) pour pouvoir emporter le verre
50cl spécial "Metallica au Stade de France". Franchement la classe :
tout noir avec le serpent.
vendredi 4 mai 2012
STEVEN WILSON – Trianon – 04/05/2012
mercredi 26 octobre 2011
STEVEN WILSON – Bataclan - 26/10/2011
19h15 : pas de première partie, Steven et son photographe fidèle alter ego, ont conçu une atmosphère très particulière pour cette soirée. La musique de Bass Communion, autre activité musicale de Steven, accompagne la diffusion de quatre ou cinq diapositives sur un rideau durant … 60 minutes ! oui, durant tout ce temps l'auditoire a du supporter une musique souvent abrutissante et pénible, … à mon humble avis, avis qui me semble toutefois largement partagé.
mercredi 25 mai 2011
RUSH – Arena O² - 25/05/2011
mercredi 3 novembre 2010
THERION + LEPROUS – Elysée Montmartre - 03/11/2010
18h25-18h55 : LOCH VOSTOK. 30 mn avec eux suffirent amplement à réchauffer la salle. Des musiciens sans doute compétents mais dans un registre pas très original avec un chanteur hurleur agaçant.
19h10-19h50 : LEPROUS. 40 mn nettement
plus intéressantes et prometteuses. Déjà sensibilisé en préalable par les réseaux sociaux spécialisés, je découvre sur scène cinq Norvégiens dont la musique fait
souvent penser à celle de Pain of Salvation. Une apparence plutôt soignée
(trois portent un gilet avec nœud autour du cou) mais une énergie et une
motivation flagrante. Victime d'une sonorisation mal équilibrée, ou sans doute mal préparé à l'événement, je n'ai pas été aussi enthousiasmé que prévu par le chant, mais l'ensemble est formidable ; assurément la révélation de la soirée et donc de cette
fin d'année ! à suivre de près.
(à vérifier et compléter)
(non reconnue)
Phantom Pain
Dare You
White
(non reconnue)
Passing.
20h20-22h25 : THERION. à peu près 2h superbes. En dépit d'un premier quart d'heure un peu coincé, le spectacle a ravi ses admirateurs.
On peut en effet parler de "spectacle" autant que de concert
puisque Chris Johnsson n'ayant jamais caché son attrait pour l'Art lyrique et
son aspect théâtral. Cela ne s'est pas démenti ce soir bien que la mise en
scène fut bien moins chargée que lors de la précédente tournée durant laquelle
l'aspect gothique était bien plus prononcé ! Les quatre chanteurs étaient donc
priés de se donner la réplique, un peu comme pour une comédie musicale.
En ce qui me concerne, j'ai passé
une excellente soirée avec un programme bien équilibré présentant seulement
trois titres du dernier opus.
Ce qui continue de me gêner avec
Therion, c'est l'obstination avec laquelle il intègre des sons préenregistrés
alors que je trouve cela parfaitement inutile. Heureusement, les chanteurs
interprètent leur partie sur des tonalités souvent différentes de celles du
studio, dissipant ainsi toute suspicion de "play-back".
Katarina Lilja est une (belle et)
bonne chanteuse même si elle n'a pas le talent de soprano de (la non moins
jolie) Lori Lewis avec laquelle on a pu assister de magnifiques duos. Lori
Lewis intervient désormais très bien au clavier (raison de plus pour déplorer
les segments préenregistrés !!).
Par ailleurs, notons que le ténor
Thomas Vikström, qui n'hésite pas à interpréter des passages à la flûte
traversière (transcriptions de pupitre guitare ou vocal), parvient peu ou prou à
remplacer le toutefois regretté Mats Leven, sans atteindre toutefois son
charisme.
Quant à Snowy Shaw, j'ai un
problème avec lui ; je n'arrive pas à l'apprécier totalement. Ces interventions
vocales ne me semblent pas toujours justes ; son côté fêlé plutôt inquiétant se
prête pourtant bien au répertoire du groupe.
Christian Vidal à la guitare
s'est montré assez efficace quoique relativement discret ; Chris assure aussi
bcp de solos.
Waldemar Sorychta (une vague
ressemblance physique avec John Wesley) à la basse, plutôt discret mais
efficace, aussi.
Autre détail surprenant, Chris
s'est coupé les cheveux très courts, arborant une apparence très classique
(petit gilet, nœud au cou, chapeau haut de forme) !
Au final, Chris a pris le micro
pour expliquer (avec sincérité il me semble) que s'il a constaté un bon public
en Allemagne et en Amérique du Sud, il apprécie tout particulièrement
l'ambiance que lui accorde le public parisien. En effet, au fil du concert
l'ambiance était très enthousiaste !
Ravi donc de mon cinquième concert de THERION qui restera toutefois dans mon estime en seconde position dernière celui de décembre 2007 ; normal, c'était un concert anniversaire, avec un clavier sur scène et d'une durée de trois heures ... mais c'est une autre histoire !
Sitra Ahra (avec "Introduction" en échantillon)
Wine of Aluqah
Typhon
The Perennial Sophia
Hellequin
Nifelheim
The Siren of the Woods
Voyage of Gurdjieff (The Fourth Way)
Ljusalfheim
Dies Irae (reprise de Wolfgang Amadeus Mozart)
Ginnungagap
Kali Yuga, Part 3
Call of Dagon
Clavicula Nox
Enter Vril-Ya
The Blood of Kingu
Lemuria
Abraxas
Unguentum Sabbati
To Mega Therion.










