lundi 27 octobre 2025

EUROPEAN BLOOD DYNASTY 2025 TOUR ARCH ENEMY + ELUVEITIE + AMORPHIS + GATECREEPER, le Zénith de Paris (Paris 19e) - le lundi 27 octobre 2025.

Tel un mini-festival itinérant, la présente tournée, intitulée " European Blood Dynasty 2025 Tour ", rassemble quatre groupes et elle prévoit, à ce jour, vingt-sept dates. Elle a débuté à Stuttgart le 10 octobre et s'achèvera à Düsseldorf le 15 novembre. Notons que dès le 30 septembre, Lyon et Bruxelles affichaient "complet" !

Les protagonistes ont en commun un répertoire ostensiblement apparenté au style "death metal", un style qui peut sembler plus ou moins agréable, selon le niveau de tolérance de l'auditeur…

Ma présence nécessite une explication. Je suis peu enclin à supporter les orgies gutturales et métalliques mais pourtant, par la grâce de certains artistes astucieux (Steven Wilson, Mikael Åkerfeldt, Johan Edlund), mon oreille a appris à percevoir les subtilités qui sont parfois masquées par de fausses évidences. De ce parcours initiatique, il résulte une certaine mansuétude pour ces écarts à la douceur.

Néanmoins, cet intérêt relatif n'était pas de nature à nous motiver pour nous rendre à une soirée entièrement vouée à ce style… En fait, notre engagement résulte d'une tentation passagère. Dans l’euphorie de la fête de la musique le 21 juin, nous avions apprécié l'écoute de quelques titres d'AMORPHIS. Dans ma quête d'information, je me suis alors aperçu que ces Finlandais venaient cet automne, dans le cadre de la présente tournée qui intègre donc ELUVEITIE et ARCH ENEMY, deux groupes qui ne m'avaient pas laissé de mauvais souvenirs. Alors, même sans passion débordante pour cet univers, pourquoi ne pas tenter l'Aventure extrasensorielle ?

Dans ce cheminement de mélomane égaré, j'avais quelque peu sous-estimé mon attachement aux belles voix et aux mélodies enjôleuses…

Me voici donc aujourd'hui dans cet inquiétant chaudron, peu après l'ouverture des portes qui étaient prévue à 16h30. Mon fils ainé sera là aussi mais en fosse. Nous avions pris la sage précaution d'opter pour des places assises (G/14/75 et 74) ; ce qui nous offre un agréable confort visuel, sans être très éloigné de la console de sons. Ce dernier point nous avait a priori rassuré sur l'acoustique générale mais pourtant…

 

GATECREEPER [18h00-18h30].
https://www.gatecreeper.eu/
https://www.facebook.com/gatecreeper

Je ne connaissais absolument pas ce groupe américain, formé en septembre 2013 à Tucson et à Phoenix, (Arizona). Pour l'anecdote, sa bio nous rapporte que son nom serait un jeu de mots avec le terme "Gatekeeper".

Le quintuor est actuellement composé de Chase H. Mason (chant), Eric Wagner (guitares), Israël Garza (guitares), Alex Brown (basse), Matt Arrebollo (batterie, claviers, effets sonores).

Le troisième album studio, "Dark Superstition" est paru le 17 mai 2024.

Avec ma p'tite Fée nous sommes en mode "totale découverte" ; jamais vus ni entendus.

Lorsque débute ce concert, la salle est encore peu remplie ; beaucoup n'arriveront qu'après 19h30/20h…

Le logotype du groupe est étendu en fond de scène ; il laisse présager un univers assez éloigné de plaines verdoyantes, agrestes et bucoliques. Autant dire qu'effectivement ces messieurs ne feront pas dans la dentelle ; âmes sensibles et oreilles délicates, aux abris…

L'éclairage était délibérément dans les sombres verdâtres et rougeâtres. Question d'ambiance…. La scène qui leur était concédée était assez restreinte, tout l'arrière étant encombré du matériel pour les prestations suivantes. (On est loin de scènes coulissantes de certains auditoriums !…)

La sonorisation a favorisé excessivement la redoutable section basse/batterie, ce qui m'imposa le port de protections auditives et pénalisa d'autant plus mon ressenti. Cela dit, ce ne fut pas une surprise ; au micro un monsieur en colère (ou dépressif) hurlait sans nuance. Dommage, car musicalement une impressionnante puissance pouvait m'entrainer ici et là ; de bons passages de guitare audibles, malgré tout.

A l'issue de cette prestation, on va dire "impressionnante", une bonne partie du public déjà présent a semblé apprécier. En une trentaine de minutes, gageons que ces Américains auront su capter l'intérêt de quelques nouvelles recrues.

GATECREEPER a interprété dix titres tirés de quatre albums. Six sont issus de "Dark Superstition".

PROGRAMME
1.          Dead Star (Dark Superstition, 2024)
2.          Ruthless (Deserted, 2019)
3.          A Chilling Aura (Dark Superstition, 2024)
4.          Caught in the Treads (Dark Superstition, 2024)
5.          The Black Curtain (Dark Superstition, 2024)
6.          From the Ashes (Deserted, 2019)
7.          Mistaken For Dead (Dark Superstition, 2024)
8.          Flesh Habit (Dark Superstition, 2024)
9.          Sick of Being Sober (An Unexpected Reality, 2020)
10.      Flamethrower (Sonoran Depravation, 2016).

 

AMORPHIS [18h50-19h35].
https://amorphis.net/
https://www.facebook.com/amorphis

Ce groupe finlandais a été fondé en 1990 à l'initiative d' Esa Holopainen, Tomi Koivusaari et Jan Rechberger. D'abord dans la frange la plus radicale du "death metal", AMORPHIS a ensuite évolué vers un métal davantage mélodique avoisinant le folk metal, voire de metal progressif… Leur particularité est l'usage du "Kalevala", une forme atypique de littérature finlandaise mêlant folklore et mythologie. Après quelques démos, le premier album "The Karelian Isthmus" est paru le 1er novembre 1992.

Le trio fondateur, Esa Holopainen (guitare solo, depuis 1990), Tomi Koivusaari (guitare rythmique, chœurs, depuis 1990), Jan Rechberger (batterie, de 1990 à 1996, et depuis 2002), est désormais entouré de Santeri Kallio (claviers, depuis 1998), et Tomi Joutsen (chant principal, depuis 2005). Le bassiste Olli-Pekka Laine de 1990 à 2000, et depuis 2017) s'est excusé pour cette tournée ; il est remplacé temporairement par Victor Brandt.

Leur quinzième album, "Borderland" est paru le 26 septembre 2025. AMORPHIS partage l'affiche de la tournée avec ARCH ENEMY du 10/10 au 15/11, mais continuera sa tournée en Finlande.

Voilà donc le quintuor à l'origine de notre présence ici ; avec ma p'tite Fée nous nous estimons cependant en mode découverte également, puisque nous ne les avons jamais vus et que nous ne les connaissons que par vidéo interposées.

L'affluence s'étoffe à peine, lorsque vient leur tour de passage en scène.

En fond de scène, le logotype du groupe s'impose sur toute la largeur (il était à peine masqué par celui du précédent groupe). Par le jeu d'élimination, les Finlandais gagnent un peu d'espace de scène. Quant à l'éclairage, il nous semble un peu plus lumineux.

Eux aussi, nous semblent pénalisés par une sonorisation favorisant trop la section basse/batterie … A moins que ce ne soient nos vieilles oreilles qui peinent décidément à supporter ces avalanches de décibels ?... Toujours est-il que les protections auditives s'imposent une nouvelle fois.

Nous captons pourtant davantage de nuances dans cette prestation ; le clavier apporte une touche de fraicheur, et le chant alterne la voix en mode clair et guttural.

Cependant, notre espoir d'un engouement confirmé s'estompe au fil du concert. L'ensemble est souvent agréable, il y a de beaux passages mélodiques et/ou techniques, mais pas de quoi estomper cette impression de violence mal contenue, malgré tout. Sans connaitre les paroles, qui pourraient justifier une agressivité, je ne comprends pas les segments de chants gutturaux qui me semblent systématiquement casser les belles harmonies.

Bref, une prestation globalement décevante, même si j'ai relevé des aspects intéressants. Disons que je ne me ruinerai pas à leur échoppe…

L'auditoire est un peu plus nombreux à montrer sa satisfaction. Je me joins aux applaudissements, ne fut-ce que pour leur responsabilité à nous avoir fait venir…

AMORPHIS nous a interprété neuf titres issus de sept albums. Deux morceaux sont issus de "Borderland".

PROGRAMME
1.          Bones (Borderland, 2025)
2.          Silver Bride (Skyforger, 2009)
3.          Wrong Direction (Queen of Time, 2018)
4.          The Moon (Halo, 2002)
5.          Dancing Shadow (Borderland, 2025)
6.          Death of a King (Under the Red Cloud, 2015)
7.          Black Winter Day (Tales from the Thousand Lakes, 1994)
8.          House of Sleep (Eclipse, 2006)
9.          The Bee (Queen of Time, 2018).

 

ELUVEITIE [20h-20h45].
https://eluveitie.ch/
https://www.facebook.com/eluveitie

Chrigel Glanzmann échouait à fonder un groupe, lorsqu'il est finalement parvenu à rassembler quelques musiciens en 2002, pour exécuter diverses compositions, lors d'un simple projet de studio…

Mais, suite au succès rencontré par la publication en octobre 2003 de "Vên" (mot gaulois helvétique signifiant "joie sauvage"), ELUVEITIE a perduré, animé par le désir de mêler le death metal mélodique aux traditions musicales du monde celtique. Depuis, le groupe s'est montré l'un des groupes de metal les plus originaux et inventifs. Pour ce faire, ELUVEITIE utilise des instruments folkloriques traditionnels, tels que des violons, des sifflets ainsi que des flûtes, des cornemuses et des vielles à roue. Les airs folkloriques traditionnels de leurs chansons sont puisés dans diverses sources celtes, notamment les airs irlandais ou bretons traditionnels.

Les paroles sont souvent en anglais, mais certaines sont rédigées dans l'ancienne langue gauloise helvétique, aujourd'hui disparue ; les deux langues sont parfois mêlées lors des chansons.

Quant au nom du groupe, la biographie nous indique qu'il s'inspire d'un graffiti datant d'environ 300 ans avant J.C. découvert à Mantoue. En alphabet étrusque, l'inscription se lisait "eluveitie", interprété en langue étrusque comme "elvetios" ("les Suisses"). D'autres sources indiquent que Eluveitie signifie "Je suis l'helvète", en helvète.

Cet Octuor helvète se compose actuellement de Chrigel Glanzmann, chant, mandoline, sifflets, gaita, guitare acoustique, bodhrán, harpe, bouzouki (depuis 2002), Kay Brem (basse, depuis 2008), Rafael Salzmann (guitare solo, depuis 2012), Matteo Sisti (cornemuse, sifflets, guitare acoustique, depuis 2014, et vielle à roue, depuis 2024), Alain Ackermann (batterie, depuis 2016), Jonas Wolf (guitare rythmique, depuis 2016), Fabienne Erni (chant, harpe, depuis 2017) et Lea-Sophie Fischer (violon, vielle à roue, depuis 2024).

Le neuvième album studio, " Ànv " est paru le 25 avril 2025.

Je revois ce groupe une deuxième fois, après leur prestation du vendredi 15 juin 2018 lors du Download festival à Brétigny-sur-Orge (91). Je vais pouvoir vérifier ce soir, si mon impression a évolué …

Cette fois le public est nombreux, les employés sont sortis de leur bureau, les étudiants sortis de leurs cours. Le Zénith est bien rempli (sans être complet, et d'ailleurs les sièges latéraux ont été neutralisés par un drap noir…)

En fond de scène, s'étend une large image du récent album. Fort heureusement, l'espace scénique s'est encore agrandit pour l'octuor, même si le fond demeure occupé par le matériel suivant. L'éclairage s'avère vite lumineux et coloré.

La sonorisation accorde toujours trop de place à la fameuse section basse/batterie. Il faut croire que c'est la loi du genre... Pourtant elle me parait relativement ici mieux équilibrée et permet au moins de capter distinctement les huit pupitres. L'idéal aurait été de baisser un peu le niveau sonore, mais c'eût été trop demander dans ce cadre…

La perception de l'ensemble pourra être nuancée, mais pour ma part je m'agace assez vite de la voix constamment en mode guttural du mâle de service. A mon sens, ces grognements inappropriés ont gâché les si belles harmonies exprimées par le violon de Lea-Sophie Fischer, la flûte de Matteo Sisti, le chant clair de la ravissante et talentueuse Fabienne Erni. Cela m'a semblé d'autant plus évident que, lorsqu'il fermait sa "gueule" (mot choisi) tout redevenait harmonieux et agréable.

L'auditeur perspicace aura reconnu des influences celtes ; d'ailleurs, "Inis Mona" est très largement inspirée de "Tri Martolod" une chanson traditionnelle bretonne qui avait été popularisée notamment par Alan Stivell et Tri Yann.

En fosse, c'était la fête ! Le public a visiblement accroché aux humeurs folk-metal.

ELUVEITIE a interprété dix titres issus de cinq albums. Trois morceaux sont issus de "Ànv".

PROGRAMME
Bande son introductive : Origins
1.          Ategnatos (Ategnatos, 2019)
2.          Deathwalker (Ategnatos, 2019)
3.          The Prodigal Ones (Ànv, 2025)
4.          Exile of the Gods (Ànv, 2025)
5.          A Rose for Epona (Helvetios, 2012)
6.          Premonition (Ànv, 2025)
7.          Ambiramus (Ategnatos, 2019)
8.          The Call of the Mountains (Origins, 2014)
9.          King (Origins, 2014)
10.      Inis Mona (Slania, 2008).

 

ARCH ENEMY [21h25-22h50].
https://www.archenemy.net/en/
https://www.youtube.com/@archenemyofficial/videos
https://www.facebook.com/archenemyofficial/

Fondé par le guitariste suédois Michael Amott en 1995, ARCH ENEMY s'inscrit délibérément dans un cadre sombre et brutal, un genre étiqueté "death metal". Cependant, dès son premier album, "Black Earth" paru en 1996, il démontre un intense jeu de guitare à la fois complexe et mélodique. L'autre singularité du groupe était constituée du chant guttural féminin, atypique jusqu'alors, et qui était exprimé par la chanteuse Angela Gossow. En 2014, son départ a laissé place à l'arrivée de la québécoise Alissa White-Gluz, qui a continué sur ce timbre.

Désormais, Michael Amott (guitares, chœurs, depuis 1995), et Daniel Erlandsson (batterie, de 1995 à 1997, et depuis 1998), sont entourés de Sharlee d'Angelo (basse, depuis 1999), Alissa White-Gluz (chant principal, (depuis 2014), Joey Concepcion (guitares, chœurs depuis 2023).

Le douzième album studio, "Blood Dynasty" est paru le 28 mars 2025.

J'ai assisté à deux concerts d'ARCH ENEMY, à chaque fois à l'occasion du HELLFEST ; d'abord le dimanche 24 juin 2018, puis le samedi 17 juin 2023. Voir cette jolie femme vociférer des grognements particulièrement gutturaux m'avait davantage impressionné que séduit ; c'est plutôt les harmonies aux guitares que j'avais beaucoup apprécié. Cela m'évoquait Accept survitaminé. Ajoutons à cela une mise en scène brulante avec beaucoup de pyrotechnie. Bref, ces deux prestations m'avaient suffisamment impressionné pour assister avec envie à cette troisième.

En fond de scène, une fresque rappelle l'image du dernier album en cours de promotion. Un pentagramme inversé lumineux et/ou coloré selon les périodes s'impose ponctuellement.

Il était de bon ton de rendre hommage au père Ozzy (après son décès cet été, pour ceux qui n'auraient pas suivi) ; les lumières s'éteignent avec NIB de Black Sabbath, puis à l'extinction, la bande son était opportunément la chanson "Bark at the Moon" d'Ozzy Osbourne. Frissons.

On pouvait s'y attendre, le dispositif d'éclairage est excellent et assez innovant. Des rampes atypiques sur trois rangées et six  colonnes éclairent de leurs larges faisceaux les pupitres sur des rythmes trépidants. En revanche, il n'y aura aucun effet pyrotechnique ; ils sont remplacés par des effets spéciaux lumineux. Quant à la sonorisation, elle nous a paru similaire au début de soirée ; toujours très, trop puissante surtout au niveau des basses. Cependant avec les protections auditives, on pouvait distinguer les accords de guitares et la voix rauque de la Belle Canadienne.

Comme prévu ce fut du lourd, du puissant ; les Vikings n'ont pas fait dans la dentelle… A tel point que la prestation m'a un peu déçu, globalement. "Deceiver, Deceiver" débutait le programme sans que je réalise vraiment et pourtant je l'avais apprécié en vidéo ! Ce soir je n'ai pas trouvé la Porte ; le chant guttural n'est décidément pas ma préférence, a fortiori de la part d'une fille. Fort heureusement, je suis assez ouvert d'esprit pour entendre les duels de guitare qui sont une particularité distinctive de leur musique.

Mais n'étant pas un fin connaisseur du répertoire, j'attendais particulièrement l'interprétation de mon titre préféré, "The World Is Yours" (Will to Power, 2017), mais je suppose que les habitués auront été soulagé de ne plus l'entendre ; tant pis pour moi.

Le public semblait dans son ensemble très satisfait ; de notre gradin, c'était impressionnant de regarder les crinières s'agiter vigoureusement, de voir les cercles endiablés, les corps abandonnés portés par des bras secourables, les murs se confronter… Ce fut chaud, et nous étions d'autant plus ravis d'être à l’abri de toute cette agitation.

On aura remarqué la maitrise et l'énergie déployée par la Belle Alissa durant toute la prestation. Elle n'a pas manqué d'arborer (h)ardemment le drapeau d'Arch Enemy durant "Illuminate the Path". Sa francophonie a aidé à entretenir une belle complicité avec le public, qui l'a flattée en scandant son prénom "Alissa !". Cette complicité aurait pu monter encore d'un cran si la reprise de "Vivre libre" avait été l'occasion d'inviter un membre de Blasphème, mais bon…

Fait notable, pour entretenir l'humeur festive, pendant la phase finale, de gros ballons estampillés "Arch Enemy" ont été lâchés dans le public.

ARCH ENEMY nous a interprété seize titres issus de huit albums. Quatre morceaux sont issus de "Blood Dynasty".

PROGRAMME
Bande son introductive : Bark at the Moon, d'Ozzy Osbourne) + Set Flame to the Night
1.          Deceiver, Deceiver (Deceivers, 2022)
2.          Ravenous (Wages of Sin, 2001)
3.          Dream Stealer (Blood Dynasty, 2025)
4.          Blood Dynasty (Blood Dynasty, 2025)
5.          War Eternal (War Eternal, 2014)
6.          My Apocalypse (Doomsday Machine, 2005)
7.          Illuminate the Path (Blood Dynasty, 2025)
8.          Liars & Thieves (Blood Dynasty, 2025)
9.          The Eagle Flies Alone (Will to Power, 2017)
10.      Vivre libre (reprise de Blaphème, 198x)
11.      First Day in Hell (Will to Power, 2017)
Bande son : Saturnine
12.      Sunset Over the Empire (Deceivers, 2022)
13.      No Gods, No Masters (Khaos Legions, 2011)
14.      Avalanche (War Eternal, 2014).
RAPPEL :
15.      Snow Bound (Wages of Sin, 2001)
16.      Nemesis (Doomsday Machine, 2005)
17.      Fields of Desolation (Black Earth, 1996).
Bande son finale : Enter the Machine + Vox Stellarum.

 

L'échoppe ne nous a aucunement tentés ; les t-shirt sont aussi moches que chers.

Mon fils est bien plus enthousiaste que moi. Question de génération probablement. Cette date ne nous laissera pas la meilleure empreinte de l'année, même si plusieurs segments sont parvenus à me séduire malgré tout…


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