Le blog de Patrice du Houblon, mélomane passionné et adepte de la musicothérapie.
vendredi 24 mai 2013
RUSH – Arena O² – 24/05/2013
vendredi 8 mars 2013
STEVEN WILSON & Band – Trianon – 08/03/2013
samedi 12 mai 2012
METALLICA – Stade de France – 12/05/12
Les billets d'entrée laids (des
vulgaires feuilles A4 avec un code barre), mais je ne me plains pas de mon
placement (zone sud en rangée basse, catégorie 2) ; je suis en face de la scène
sur une première rangée de sièges (personne pour se mettre debout devant moi).
Certes, c'est loin de la scène, mais bon de toutes façons au Stade de France on
est vite loin … Cette soirée revêt en outre une importance particulière pour
moi, mon fils cadet âgé de huit ans et demi (neuf en juillet), m'accompagne
pour son baptême du Feu ! Mais ce n'est pas le plus jeune, son voisin a cinq
mois de moins !!!
GOJIRA [19h00-19h30] : Ce groupe français classé dans le death/trash metal, ne parvient pas davantage à me séduire sur scène que par leur production. Ils me font l'effet de brutes épaisses. Je n'arrive pas à déceler de mélodie, ni de technicité particulière ; juste un vociraptör en guise de chanteur et une artillerie assourdissante et sans intérêt. Désolé pour eux, mais de toutes façons, il semble bien qu'ils se passent très bien de mon soutien puisqu'ils jouissent déjà d'une certaine estime dans le public.
Programme :
Oroborus
The Heaviest Matter of the Universe
Backbone
Flying Whales
L'Enfant Sauvage
Vacuity
THE KILLS [19h50-30h30]
: Groupe américano-britanique qui m'était inconnu jusque là. Ce couple
homme/femme jouerait du "garage-rock", d'après les spécialistes … Une
erreur de casting à mon avis pour cette grand'messe du metal. Je ne conserverai
pas un souvenir impérissable de cette musique qui m'a paru insipide.
Programme :
No Wow
Future Starts Slow
Heart Is a Beating Drum
Kissy Kissy
Pull a U
Black Balloon
Pots and Pans
Fuck the People.
Les sièges encore inoccupés pour les premières parties sont cette fois tous occupés et la partie centrale est bondée ! Reste bien de l'espace sur les côtés mais on peut dire de Metallica a fait le plein aujourd'hui. Je m'en réjouis car je n'aurais pas parié dessus en début d'année !
METALLICA [21h20-22h20]
: Après ce petit apéritif, somme toute (soyons positif) de nature à aiguiser
notre appétit, Les images et le son du film culte (le Bon, …) déclenche une
clameur justifiée ; enfin le début des bonnes vibrations !
Immédiatement, on reconnaît les
premières note de "Hit the Lights"
tant la sonorisation s'avère excellente ! Rarement entendu une telle qualité de
son au Stade de France !
Les trois autres titres des
années antérieures à 1986, me rendent heureux je les adore tous. Puis "Hell and Back" un titre extrait des
sessions d'enregistrement de leur dernier opus mais qui, n'étant pas inspiré du
feu de Dieu n'avait pas été retenu.
Vient le moment attendu ; la
reprise du "black-album". Idée originale, il est repris dans l'ordre
exactement inversé de l'opus ! Cela ne me dérange pas ; chacun des titres étant
parfaitement autonome ! Pas une faille, un vrai bonheur intégral.
Fin de cette belle parenthèse,
avec "Battery" il rappelle que nous sommes dans le monde du metal pur
et dur, celui qui ne passe pas ou peu sur les ondes ou dans les médias !
"One" permet au groupe
de placer une touche spectaculaire à un concert plutôt conventionnel sur la
forme (juste trois écrans diffusant les images des musiciens, pas ou très peu
d'images) en faisant claquer quelques pétard et s'élever quelques flammes.
Enfin, comme sur la dernière
tournée, c'est "Seek & Destroy"
qui clôt le concert ; les projecteurs du stade étant rallumés, et les ballons
estampillés étant lancés dans la foule ravie.
Les musiciens, généreux et ravis de partager leur émotion avec le public, semblent avoir du mal à quitter la scène du Stade. Remerciements et dons divers n'en finissent plus de retarder la sortie du reste du public encore présent pour ne rien rater de cette communion. Cette fin n'en est pas vraiment une, tant je suis certain que je les reverrai une dix-septième fois ! … and nothing else matter !
Programme :
Hit the Lights
Master of Puppets
No Remorse
For Whom the
Hell and Back
The Struggle Within
My Friend of Misery
The God That Failed
Of Wolf & Man
Nothing Else Matters
Through the Never
Don't Tread On Me
Wherever I May Roam
The Unforgiven
Holier Than Thou
Sad But True
Enter Sandman
Seek & Destroy.
Je n'ai pas acheté de tshirt ; en revanche j'ai acheté une
pisse d'âne imbuvable (soit disant de la bière) pour pouvoir emporter le verre
50cl spécial "Metallica au Stade de France". Franchement la classe :
tout noir avec le serpent.
vendredi 4 mai 2012
STEVEN WILSON – Trianon – 04/05/2012
mercredi 26 octobre 2011
STEVEN WILSON – Bataclan - 26/10/2011
19h15 : pas de première partie, Steven et son photographe fidèle alter ego, ont conçu une atmosphère très particulière pour cette soirée. La musique de Bass Communion, autre activité musicale de Steven, accompagne la diffusion de quatre ou cinq diapositives sur un rideau durant … 60 minutes ! oui, durant tout ce temps l'auditoire a du supporter une musique souvent abrutissante et pénible, … à mon humble avis, avis qui me semble toutefois largement partagé.
mercredi 25 mai 2011
RUSH – Arena O² - 25/05/2011
mercredi 3 novembre 2010
THERION + LEPROUS – Elysée Montmartre - 03/11/2010
18h25-18h55 : LOCH VOSTOK. 30 mn avec eux suffirent amplement à réchauffer la salle. Des musiciens sans doute compétents mais dans un registre pas très original avec un chanteur hurleur agaçant.
19h10-19h50 : LEPROUS. 40 mn nettement
plus intéressantes et prometteuses. Déjà sensibilisé en préalable par les réseaux sociaux spécialisés, je découvre sur scène cinq Norvégiens dont la musique fait
souvent penser à celle de Pain of Salvation. Une apparence plutôt soignée
(trois portent un gilet avec nœud autour du cou) mais une énergie et une
motivation flagrante. Victime d'une sonorisation mal équilibrée, ou sans doute mal préparé à l'événement, je n'ai pas été aussi enthousiasmé que prévu par le chant, mais l'ensemble est formidable ; assurément la révélation de la soirée et donc de cette
fin d'année ! à suivre de près.
(à vérifier et compléter)
(non reconnue)
Phantom Pain
Dare You
White
(non reconnue)
Passing.
20h20-22h25 : THERION. à peu près 2h superbes. En dépit d'un premier quart d'heure un peu coincé, le spectacle a ravi ses admirateurs.
On peut en effet parler de "spectacle" autant que de concert
puisque Chris Johnsson n'ayant jamais caché son attrait pour l'Art lyrique et
son aspect théâtral. Cela ne s'est pas démenti ce soir bien que la mise en
scène fut bien moins chargée que lors de la précédente tournée durant laquelle
l'aspect gothique était bien plus prononcé ! Les quatre chanteurs étaient donc
priés de se donner la réplique, un peu comme pour une comédie musicale.
En ce qui me concerne, j'ai passé
une excellente soirée avec un programme bien équilibré présentant seulement
trois titres du dernier opus.
Ce qui continue de me gêner avec
Therion, c'est l'obstination avec laquelle il intègre des sons préenregistrés
alors que je trouve cela parfaitement inutile. Heureusement, les chanteurs
interprètent leur partie sur des tonalités souvent différentes de celles du
studio, dissipant ainsi toute suspicion de "play-back".
Katarina Lilja est une (belle et)
bonne chanteuse même si elle n'a pas le talent de soprano de (la non moins
jolie) Lori Lewis avec laquelle on a pu assister de magnifiques duos. Lori
Lewis intervient désormais très bien au clavier (raison de plus pour déplorer
les segments préenregistrés !!).
Par ailleurs, notons que le ténor
Thomas Vikström, qui n'hésite pas à interpréter des passages à la flûte
traversière (transcriptions de pupitre guitare ou vocal), parvient peu ou prou à
remplacer le toutefois regretté Mats Leven, sans atteindre toutefois son
charisme.
Quant à Snowy Shaw, j'ai un
problème avec lui ; je n'arrive pas à l'apprécier totalement. Ces interventions
vocales ne me semblent pas toujours justes ; son côté fêlé plutôt inquiétant se
prête pourtant bien au répertoire du groupe.
Christian Vidal à la guitare
s'est montré assez efficace quoique relativement discret ; Chris assure aussi
bcp de solos.
Waldemar Sorychta (une vague
ressemblance physique avec John Wesley) à la basse, plutôt discret mais
efficace, aussi.
Autre détail surprenant, Chris
s'est coupé les cheveux très courts, arborant une apparence très classique
(petit gilet, nœud au cou, chapeau haut de forme) !
Au final, Chris a pris le micro
pour expliquer (avec sincérité il me semble) que s'il a constaté un bon public
en Allemagne et en Amérique du Sud, il apprécie tout particulièrement
l'ambiance que lui accorde le public parisien. En effet, au fil du concert
l'ambiance était très enthousiaste !
Ravi donc de mon cinquième concert de THERION qui restera toutefois dans mon estime en seconde position dernière celui de décembre 2007 ; normal, c'était un concert anniversaire, avec un clavier sur scène et d'une durée de trois heures ... mais c'est une autre histoire !
Sitra Ahra (avec "Introduction" en échantillon)
Wine of Aluqah
Typhon
The Perennial Sophia
Hellequin
Nifelheim
The Siren of the Woods
Voyage of Gurdjieff (The Fourth Way)
Ljusalfheim
Dies Irae (reprise de Wolfgang Amadeus Mozart)
Ginnungagap
Kali Yuga, Part 3
Call of Dagon
Clavicula Nox
Enter Vril-Ya
The Blood of Kingu
Lemuria
Abraxas
Unguentum Sabbati
To Mega Therion.
jeudi 14 octobre 2010
PORCUPINE TREE – Royal Albert Hall - le jeudi 14 octobre 2010
L'après midi est passée à discuter avec d'autres fêlés de plusieurs nationalités aux abords du RAH, au pub Queen'Arms non loin de là, ainsi que dans le salon d'exposition consacré aux photographies de Lasse Hoile. Echanges instructifs et rassurants (dans le genre passionné, il y a pire que moi !)
Il s'agit de mon neuvième concert de PT, un an après les avoir vus à l'Olympia, mais je suis toujours aussi anxieux et impatient de les revoir. D'autant que pour la première fois depuis que j'assiste à des concerts, je me suis doté d'une paire de jumelles, histoire de vérifier que notre cher va-nu-pieds Steven dispose bien de cinq orteils à chaque pieds (je vous rassure tout va bien). Mon box est disposé en face de la scène, légèrement du côté de Colin.
Pour tenter (en vain) de prouver que je ne suis pas subjectif, je vais commencer par annoncer ce qui m'a (légèrement) déçu ; le programme. C'est le contrecoup de la surinformation, connaissant celui de NY, j'espérais une liste différente. Ben nan. Juste le sempiternel Trains en plus ! Pas de Gravity Eyelids ou de perle du genre. Pas d'invité exceptionnel non plus.
Bon voilà, je me suis libéré du
devoir d'objectivité. Maintenant, je dois avouer que j'ai fait un voyage au
pays des rêves éveillés.
La sonorisation (autre source de
craintes depuis l'an dernier) était excellente. L'éclairage plutôt sobre, comme
d'hab' et le fond d'écran moins imposant qu'à NY, mais suffisant.
Que vous dire de l'interprétation ? pffff… Muni de mes jumelles et les oreilles pourtant bien attentives, je n'ai pas su déceler de faille. Un régal auditif et visuel. Le jeu de Gavin m'intéressait surtout sur les vieux titres ainsi que dans l'acte acoustique ; quelle efficacité ! Cela ne l'a pas empêché de nous gratifier de ses talents de magicien à la fin de Trains en présentant un chiffon pour le faire disparaître dans son poing. Pour Colin j'étais impatient de le regarder caresser sa contre basse sur les titres acoustiques et je n'ai pas été déçu … Bref que du bonheur, quoi !
Ils ont débuté à 19h45 et fini à 23h00, si on déduit la pause de 5 mn après l'acte I et de 10 mn après l'acte II, cela nous donne un concert de 3 heures. Comment voulez vous que je me plaigne ?
Les produits promotionnels ; j'ai
acheté le t-shirt incontournable puisque unique pour le RAH, ainsi que celui de
"Recordings" en hommage aux efforts consentis pour obtenir le cd ! Il
n'y avait pas de sweat et pas de gilet ; tant pis.
Impressionnant de voir comment la montagne de t-shirts s'est vendue dans la soirée, chacun souhaitant conserver un souvenir d'un tel évènement !!!
PROGRAMME :
Premier acte
(Semi-Acoustic)
Stranger By
The Minute
Small Fish
Pure
Narcotic
Black
Dahlia
Futile
Even Less (version
longue ; John part au bout d'un moment)
Open Car
Lazarus
Dislocated
Day
The Sky
Moves Sideways (Phase One)
I Drive the
Hearse
Bonnie the
Cat
Occam's
Razor
The Blind
House
Great
Expectations
Kneel and
Disconnect
Drawing the
Line
Tinto Brass
Time Flies
The Pills
I'm Taking (seconde partie d'Anesthetize)
Up the
Downstair
Sleep
Together
Arriving
Somewhere But Not Here
Train
Je suis en mesure d'affirmer de manière absolue qu'il existe d'ores et déjà un enregistrement filmé du concert ; dans le box voisin, un type muni d'un caméscope avec deux microphones n'a pas été empêché de filmer tranquillement, au moins l'acte III (avant je ne l'avais pas remarqué). J'ai bien essayé d'engager la conversation avec un maladroit "don't keep that for yourself !" mais le type s'est esclaffé en se retournant. Mon anglais étant limité, je n'ai osé me lancer dans une discussion de marchands de tapis.
mardi 29 juin 2010
AEROSMITH – POP BERCY - 29/06/2010
THE CREEPS : 19h55 – 20h35. Venus de l'Ontario, Skottie Magellan (chant et guitare), Ian Evans (basse et chœurs) Jordan Bell (batterie et chœurs), tentent vainement de convaincre l'auditoire avec une sorte de "britpop" assez banale et indigeste. Décevant pour une première partie d'Aerosmith. Ils auront tenté de défendre leur monoplage "Follow You Home" paru ce 25 juin 2010.
AEROSMITH : 21h15 - 23h(45?) : Lorsque le gigantesque drap noir orné du logo d'Aerosmith tombe, débutent deux heures de concerts, dans un POPB plein comme un oeuf ! Son puissant mais pas assourdissant, Protection auditive dispensable. Scène magnifique (3 écrans + éclairages superbes). Les écrans ont diffusé continuellement, tantôt les images en direct du concert, tantôt des mini-films, tantôt l'un fondu dans l'autre. Une avancée de la scène a permis à un plus large public d'admirer les musiciens de plus près ; seuls Steven Tyler (chant), Joe Perry (guitare) et le Tom Hamilton (basse) s'y sont avancés. Brad Whitford (guitare) et Joey Kramer (batterie) sont en pleine forme pour asséner un mur rythmique puissant.
Mes craintes quant à la forme du groupe se sont vite dissipées. Ils attaquent avec un "Love in an Elevator" très efficace ; ensuite c'est une succession de titres emblématiques ; tous les tubes défilent, sans pause (ou si peu). Je retiens particulièrement les moments d'improvisation sur "Please don't go" et sur "Sweet Emotion" (avec notamment un thérémine) : sidérant !
Steven Tyler a semblé avoir un peu de mal à chauffer sa voix sur le premier titre, mais très vite il démontrer l'étendue de son talent ; il a une voix formidable, vraiment un des tout-meilleurs chanteurs du genre, j'avais un peu eu tendance à l'oublier Toujours aussi excentrique dans ses vêtements de début de concert, (Perry est paré d'un manteau argenté étincelant, Tyler également mais coiffé d'un énorme chapeau,) mais peut-être un peu moins acrobate qu'auparavant (il a du garder un souvenir cuisant de sa dernière galipette ). Quel meneur et quel musicien ! (J'affectionne particulièrement ses passages à l'harmonica). Perry nous a fait la démonstration d'efficacité inouïe. Tous les autres ont parfaitement assuré leur rôle.
Moment d'émotion quand le papa n'a pas pu s'empêcher de laisser paraître sa fifille dans un extrait du film Armagedon, lors de "I Don't Want to ..."
La tournée "Cocked, Locked, Ready to Rock" n'avait pas vocation à promouvoir d'album en particulier, mais juste à rassurer les admirateurs. Elle s'est déroulée de la fin du printemps et au début de l'été 2010. Le dernier et 14ème album studio "Honkin' on Bobo" paru le 30 mars 2004 est même carrément oublié du programme de ce soir. Nous aurons eu droit ce soir à un subtil mélange d'une période allant de 1973 à 1993.
PROGRAMME
(plus de deux minutes d'un bande sonore
introductive Rainy Day Women de Bob Dylan)
Love in an Elevator (Pump, 1989)
Back in the Saddle (Rocks, 1976)
Falling in Love, Is Hard on the Knees (Nine Lives, 1997)
Eat the Rich
(Get a Grip, 1993) (intro à la
batterie)
Pink (Nine Lives, 1997)
Livin' on the Edge (Get a Grip, 1993)
What It Takes
(Pump, 1989)
Jaded (Just Push Play, 2001)
Mama Kin (Aerosmith, 1973)
Cryin' (Get a Grip, 1993)
Solo de batterie
Rag Doll (Permanent Vacation, 1987)
Stop Messin' Around (reprise de Fleetwood Mac, 1968) avec Joe
Perry au chant
I Don't Want to Miss a Thing (bande originale du film Armageddon, 1998)
Sweet Emotion (Toys in the Attic, 1975) (version
longue)
Baby, Please Don't Go (reprise de Joe Williams' Washboard Blues
Singers, 1935)
Draw
the Line (Draw the Line, 1977).
RAPPEL
:
Dream On (Aerosmith, 1973)
Walk This Way (Toys in the Attic, 1975)
Toys in the Attic (Toys in the Attic, 1975).
Bref,
nous avons assisté à du grand, du très grand Aerosmith ! C'était pour moi la septième
occasion d'assister à leur prestation, depuis octobre 1989. J'ai déjà hâte de
les revoir, même s'ils prétendent préparer leur retraite…
samedi 14 novembre 2009
RIVERSIDE – La Locomotive – 14/11/2009.
Second Life Syndrome (incrusté de Schizophrenic Prayer)
The Same River
In Two Minds (end with Us de Voices in My Head EP (pas sûr pour celle la)
ANNO DOMINI HIGH DEFINITION (album entier)
---
Stuck Between
Reality Dream II-III
--
Rapid Eye Movement
mardi 13 octobre 2009
PORCUPINE TREE – Olympia – le mardi 13 octobre 2009.
Robert FRIPP : 19h30
Robert FRIPP est sans aucun doute
un grand monsieur, qui maîtrise parfaitement son art. Je le respecte et
apprécie ses qualités, mais honnêtement je me suis ennuyé pendant son concert.
Il ne m'a pas séduit, voilà tout.
PORCUPINE TREE : 20h30
Un an après avoir assisté à leur
concert londonien, à six jours près (le 19/10/08), je les revois pour la
huitième fois. (eh oui, j'aime et pourtant je compte !). J'avais fait le pari
que le groupe pouvait séduire ma sœur et le cousin de ma femme ainsi que mon
fiston (9 ans) ; PARI REUSSI ! Ils ne connaissaient pas ou peu ; ils sont tous sortis
heureux et ça c'est la classe !!
Satisfaction quasi totale, en dépit d'une sonorisation excessivement et inhabituellement forte pour PT. L'interprétation intégrale du CD1 de "The Incident", qui a constitué le premier volet, m'a confirmé dans ma conviction que The Incident est une réussite. L'alternance des atmosphères déjà superbes en studio est magnifiée en concert par les images.
Dix minutes d'entracte et hop
c'est reparti !
Pour la seconde partie, j'ai fait
la grimace lors l'amputation des "Russia on Ice" et
"Anesthetize" en assemblant le début de l'une avec le milieu de
l'autre ! Mais heureux de réentendre des titres de In Absentia en particulier "Trains"
(je sais on y a droit un peu trop souvent, mais cela ne retire rien au plaisir
de l'écouter en concert … et puis SW n'y a pas cassé sa corde de guitare cette
fois !). La mélancolie de "Lazarus", l'angoissant "Strip the
Soul/.3", la belle ballade avec "Normal", et puis ce surprenant "Bonnie
The Cat" qui n'est pas sans me rappeler Roll the Bones de Rush.
La soirée m'a transporté bien loin des
tracas quotidiens, tant l'invitation au rêve fut forte.
Public enthousiaste dans cet
Olympia complet depuis une quinzaine de jours ! Tiens, en parlant du public ;
j'étais assis en second rang de mezzanine centrale face à la scène
(quasi-idéal, donc) et devant moi légèrement sur ma gauche siégeaient les
parents de Steven Wilson et un type qui pourrait bien être son frère tant il
avait le même profil. Allez une petite anecdote ; en sortant de nos rangées
respectives, la maman de Steven trébuche à la première marche. Ma soeur l'aide
à se maintenir. Elle s'empresse de dire "thank you, I'm the mom !" ; elle est fier de son fils, la
maman !
T-shirt à 25 seulement mais pas
très beau, donc pas acheté.
PROGRAMME
ACTE 1 ("The Incident" en entier, 15 titres):
Occam's
Razor
The Blind
House
Great
Expectations
Kneel and
Disconnect
Drawing the
Line
The
Incident
Your
Unpleasant Family
The Yellow
Windows of the Evening Train
Time Flies
Degree Zero
of Liberty
Octane
Twisted
The Séance
Circle of
Manias
I Drive the
Hearse.
ACTE 2 :
Russia on Ice (première
partie seulement) (Lightbulb Sun,
2000)
Anesthetize
(part 2: 'The Pills I'm Taking' seulement)
(Fear of a Blank Planet, 2007)
Lazarus (Deadwing,
2005)
Strip the Soul (fin enchainée avec ".3") (In Absentia, 2002)
.3 (deuxième partie
seulement) (In Absentia, 2002)
Normal (Nil Recurring, 2008)
Bonnie the
Cat (The Incident, 2009).
RAPPEL
The Sound
of Muzak (In Absentia, 2002)
Trains (In Absentia, 2002).










