Second Life Syndrome (incrusté de Schizophrenic Prayer)
The Same River
In Two Minds (end with Us de Voices in My Head EP (pas sûr pour celle la)
ANNO DOMINI HIGH DEFINITION (album entier)
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Stuck Between
Reality Dream II-III
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Rapid Eye Movement
Le blog de Patrice du Houblon, mélomane passionné et adepte de la musicothérapie.
Robert FRIPP : 19h30
Robert FRIPP est sans aucun doute
un grand monsieur, qui maîtrise parfaitement son art. Je le respecte et
apprécie ses qualités, mais honnêtement je me suis ennuyé pendant son concert.
Il ne m'a pas séduit, voilà tout.
PORCUPINE TREE : 20h30
Un an après avoir assisté à leur
concert londonien, à six jours près (le 19/10/08), je les revois pour la
huitième fois. (eh oui, j'aime et pourtant je compte !). J'avais fait le pari
que le groupe pouvait séduire ma sœur et le cousin de ma femme ainsi que mon
fiston (9 ans) ; PARI REUSSI ! Ils ne connaissaient pas ou peu ; ils sont tous sortis
heureux et ça c'est la classe !!
Satisfaction quasi totale, en dépit d'une sonorisation excessivement et inhabituellement forte pour PT. L'interprétation intégrale du CD1 de "The Incident", qui a constitué le premier volet, m'a confirmé dans ma conviction que The Incident est une réussite. L'alternance des atmosphères déjà superbes en studio est magnifiée en concert par les images.
Dix minutes d'entracte et hop
c'est reparti !
Pour la seconde partie, j'ai fait
la grimace lors l'amputation des "Russia on Ice" et
"Anesthetize" en assemblant le début de l'une avec le milieu de
l'autre ! Mais heureux de réentendre des titres de In Absentia en particulier "Trains"
(je sais on y a droit un peu trop souvent, mais cela ne retire rien au plaisir
de l'écouter en concert … et puis SW n'y a pas cassé sa corde de guitare cette
fois !). La mélancolie de "Lazarus", l'angoissant "Strip the
Soul/.3", la belle ballade avec "Normal", et puis ce surprenant "Bonnie
The Cat" qui n'est pas sans me rappeler Roll the Bones de Rush.
La soirée m'a transporté bien loin des
tracas quotidiens, tant l'invitation au rêve fut forte.
Public enthousiaste dans cet Olympia complet depuis une quinzaine de jours ! Tiens, en parlant du public ; j'étais assis en second rang de mezzanine centrale face à la scène (quasi-idéal, donc) et devant moi légèrement sur ma gauche siégeaient les parents de Steven Wilson et un type qui pourrait bien être son frère tant il avait le même profil. Allez une petite anecdote ; en sortant de nos rangées respectives, la maman de Steven trébuche à la première marche. Ma soeur l'aide à se maintenir. Elle s'empresse de dire "thank you, I'm the mom !" ; elle est fier de son fils, la maman !
Autre présences, les membres de Marillion et de Ange.T-shirt à 25 seulement mais pas
très beau, donc pas acheté.
PROGRAMME
ACTE 1 ("The Incident" en entier, 15 titres):
Occam's
Razor
The Blind
House
Great
Expectations
Kneel and
Disconnect
Drawing the
Line
The
Incident
Your
Unpleasant Family
The Yellow
Windows of the Evening Train
Time Flies
Degree Zero
of Liberty
Octane
Twisted
The Séance
Circle of
Manias
I Drive the
Hearse.
ACTE 2 :
Russia on Ice (première
partie seulement) (Lightbulb Sun,
2000)
Anesthetize
(part 2: 'The Pills I'm Taking' seulement)
(Fear of a Blank Planet, 2007)
Lazarus (Deadwing,
2005)
Strip the Soul (fin enchainée avec ".3") (In Absentia, 2002)
.3 (deuxième partie
seulement) (In Absentia, 2002)
Normal (Nil Recurring, 2008)
Bonnie the
Cat (The Incident, 2009).
RAPPEL
The Sound
of Muzak (In Absentia, 2002)
Trains (In Absentia, 2002).
Priest Feast, Nostradamus Tour |
Un
petit point sur mon état d’esprit avant ce concert. Depuis le 7 décembre 1981,
il s’agit de la sixième fois que j’ai l’occasion de voir Judas Priest, la
dernière datant du le 17 mars 1991. Après le départ inopportun de Rob, que j’ai
vécu comme une trahison et un énorme gâchis, de mon point de vue Judas
appartenait au passé. Son retour au sein du groupe m’a laissé perplexe. Un
ressort s'était brisé ; la folie engendrée par Painkiller était bien loin. De plus, des chroniques de concert et des
avis divers exprimés ici et là, entretenaient des doutes sur l’aptitude de Rob
a maîtriser son répertoire. De surcroit, "Nostradamus" ne m'a pas convaincu d'un retour éblouissant. Mais,
je n'oublie pas que dans les années 80 Judas Priest fut, et aurait du rester,
le groupe phare du heavy metal ; par conséquent, je voulais écouter de mes
propres écoutilles ce qu’il était devenu.
TESTAMENT – 18H45/19H30 (1/4 d’heures plus tôt que prévu)
Déçu.
Je n'ai pas trouvé la Porte, et la prestation m'a semblé pénible. J'avais pourtant
acheté le 33T The Legacy en 1987, mais
je dois admettre que je ne l'écoute guère. En concert, il ne m'a pas convaincu
davantage, en dépit du titre d’ouverture tiré de ce même album. La sonorisation
a sans doute contribué à me faire entendre une moulinette inaudible.
MEGADETH – 19H45/20H45
Par
contre Megadeth m'a heureusement surpris. Les deux précédentes prestations
(1988 et 1999) auxquelles j'avais assisté m'avaient plu, sans plus, mais là je
les ai trouvés convaincants, aidés en cela par une sonorisation claire et pas
excessivement forte. Des titres bien balancés, des musiciens appliqués. On
ressent souvent la filiation avec Metallica, mais DM a su marquer sa différence
avec bonheur.
JUDAS PRIEST – 21H15/23H10
Quant à Judas Priest, ce concert n'aura pas apaisé mes craintes. Les capacités vocales de Rob m'ont semblé en deçà d'antan. Cruelles désillusions sur les titres révélateurs que sont "Sinner" et "Green Manalishi" ou encore "You've Got Another Thing Coming". "Painkiller" a également souffert de ce constat. Soit Rob a chanté un ton au dessous, soit il criait, soit il grognait, soit il faisait chanter le public à sa place. Affligeant.
Bon,
cela dit, …qui aime bien châtie bien ! et je dois souligner mon bonheur quand
même globalement ressenti pendant le concert. Tous les titres ont été
interprétés avec l'énergie et l’efficacité que l'on est encore en droit
d'attendre de nos ex-NWOBHM-héros !
Le
concert, la scène, la sonorisation ; tout fut très, très bon, même si nous nous
serions bien passés de l’introduction, qui ressemblait davantage à une parodie
de leur propre intro de la tournée 1981/82 ; Rob, vêtu d’une cape en
paillettes d’un kitsch hilarant, sort d’un ascenseur plutôt expéditif.
Deux faiblesses dans le programme à mon avis, "Angel" et "Messenger Of Death" et deux points forts "Breaking The Law "et "Living After Midnight" ! A mon avis, l’exécution de "Sinner" (outre les limites vocales de Rob) manquait de nuance, comparé notamment à l’enregistrement Unleashed in the East.
Un bon point pour Glenn Tipton, en pleine forme, sautillant comme un fou et toujours aussi efficace au niveau du manche !
Programme JUDAS PRIEST
01. Dawn Of Creation
02. Prophecy
03. Metal Gods
04. Eat Me Alive
05. Between The Hammer And The Anvil
06. Devil's Child
07. Breaking The Law
08. Hell Patrol
09. Messenger Of Death
10. Dissident Agressor
11. Angel
12. The Hellion / Electric Eye
13. Rock Hard, Ride Free
14. Sinner
15. Painkiller
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16. Hell Bent For Leather
17. The Green Manalishi
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18. You've Got Another Thing Coming
19. Living After Midnight
Programme MEGADETH
01.
Sleepwalker
02. Wake Up Dead
03. Take No Prisoners
04. A Tout Le Monde
05. Skin O'My Teeth
06. She Wolf
07. In My Darkest Hour
08. Symphony Of Destruction
09. Sweating Bullets
10. Hangar 18
11. Peace Sells
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12. Holy Wars...The Punishment Due
Programme TESTAMENT
01.
Over The Wall
02. The New Order
03. Souls Of Black
04. Electric Crown
05. More Than Meets The Eye
06. D.N.R. (Do Not Resuscitate)
07. Practice What You Preach
08. The Formation Of Damnation
Agacement
par ailleurs au sujet des placements numérotés (on se sent compartimentés j'ai
horreur de ça) et de ces placeuses/racketteuses, comme si les entrées n'étaient
pas déjà assez chères !!!
Placé sur le côté
relativement loin (R80), j'ai pu me rapprocher sensiblement pour JP, grâce à
Philippe Soum, qui avait de la place à côté de lui à proximité de la table de
mixage !