/!\ Avertissement : Je venais depuis quelques semaines seulement de
me connecter à internet lorsque j'ai publié ce récit ; j'avais une faible
expérience de la communication. La rédaction est succincte et peu argumentée, à
l'instar de mes récits antérieurs que j'ai toujours écrit pour entretenir ma
mémoire.
Salut !
Je reviens du Raimes Fest et je
vous propose un petit billet d’humeur, un relevé d’impressions, qui n’a pas
d’autre prétention que de souligner les prestations qui m'ont semblé les plus
remarquables. Exercice évidemment très subjectif.
Des propos prêtés à M. Talleyrand
me paraissent bien adaptés à mon ressenti sur cette prestations : "tout ce qui est excessif est insignifiant".
Ainsi, je ne suis pas séduit pas ces hurlements, grognements et autres
vociférations qui semblent pourtant, il est vrai, inspirer une bonne partie du
public. Je reconnais pourtant que souvent les musiciens ont bien des qualités,
mais on ne peut pas dire qu’elles soient mises en valeur par ces vocaux que je
ne peux pas qualifier de "chants".
Bref, je mettrai donc en valeur
la Musique, selon sa définition de reconnue : "une suite de sons produisant une impression harmonieuse" (Cf.
Larousse).
Samedi,
j’ai ainsi préféré S2D2, DELAIN, KORITNI, et surtout GLENN
HUGHES.
PAIN OF SALVATION m’a un peu déçu alors
que j’avais adoré leur prestation sur la tournée "Ramedy Lane". Sur la scène découverte, CARBUR, SHEEDUZ et FIINKY PIE n’ont pas démérité.
Dimanche,
la programmation était d’un niveau nettement plus élevé (toujours à mon humble
avis) car KORITNI (de retour mais
uniquement sur des titres en hommage à Guns & Roses), GOTTHARD, AFTER FOREVER (mention
spéciale pour Floor Jansen) et surtout THERION
ont fait de cette journée "another perfect day", comme aurait dit
Lemmy.
SYRENS CALL est pas mal non plus. Sur
la scène découverte c’est SHANNON
qui m’a plu particulièrement.
L’organisation du festival aurait
été parfaite, si les deux seules pannes de cette édition ne s'étaient produites
malencontreusement pendant le concert de THERION, qui en plus souffrait du
handicap de commencer très en retard. Retard qui leur a imposé un spectacle
devant un public réduit (beaucoup ne pouvait rester si tard un dimanche) et les
a privé, apparemment d’un rappel. Dommage, car jusque-là l’enchaînement des
groupes s’est déroulé idéalement.
Côté météo, pas de pluie et même
de belles apparitions du soleil ont contribué à entretenir un sentiment de
convivialité sur ce modeste site champêtre.